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21 octobre 2007 7 21 /10 /octobre /2007 17:36
Vous souvenez-vous de ce cantique : "Je m'avancerai jusqu'à l'autel de Dieu, la joie de ma jeunesse" ?

C'était un des premiers cantiques que l'on chantait après la réforme liturgique de Vatican II.

Les paroles sont empruntées au Psaume 42, 4 :

J'avancerai jusqu'à l'autel de Dieu,
vers Dieu qui est toute ma joie ; *
je te rendrai grâce avec ma harpe,
Dieu, mon Dieu !


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commentaires

M
Je me rappelle bien ce cantique d'introït que je chantais dans ma jeunesse, mais il est antérieur au Concile Vatican II et à la réforme liturgique qui l'a suivi ; il date des années 50. C'est en recherchant son auteur -sans succès jusqu'à présent- que je tombe sur votre blog.<br /> Si vous savez qui est l'auteur de cantique (Gélineau ? Deiss ? Julien ?), merci de le dire !<br /> Ces pionniers du chant liturgique puisaient à la source, c'est-à-dire les psaumes, et ont contribué à leur époque à la beauté du chant liturgique en français.<br /> Après la crise des années 70, j'ai retrouvé la même inspiration et la même beauté avec les chants de Gouzes, qui a largement contribué au renouveau du chant liturgique en français et que nous chantons avec notre chorale liturgique, la Schola Saint Martin (et nous avons parmi nous trois martiniquaises !).<br /> Fraternellement.<br /> Michel de Guibert
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M
Bonjour Père Walter Covens. Merci beaucoup pour l'information concernant l'auteur de ce cantique dont la mélodie trotte encore dans ma tête et dont surtout le texte, porté par la mélodie, a pénétré dans ma mémoire et dans mon cœur (je suis né moi-même un peu avant vous, en 1947). Le Père Gélineau a eu l'immense mérite de faire goûter les psaumes au peuple chrétien. Cordialement. Michel de Guibert
P
Bonjour Monsieur Michel de Guibert. Merci pour la rectification. Étant né moi-même en 1952, je n'ai connu ce chant que plusieurs années plus tard, ce qui explique mon &quot;décalage&quot;. Par contre, je peux vous informer que le compositeur en est bien le Père Gelineau. Cordialement, Père W. Covens